Demeure encore un peu sur les genoux de la nuit laisse tourner le sommeil en silence et l'encre en lait Le jour retient son souffle et toi c'est à peine si tu oses respirer Le jardin est une énigme de ton thé le brouillard monte comme un encens.
Il y a ce moment, à l'aube, où tout se confond. Le jour ne sait s'il ose arriver, de peur de faire fuir la nuit. Et cette dernière voudrait rester encore. Ce sont les plus belles heures de la journée. Bises alpines et belle semaine.
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RépondreSupprimerIl y a ce moment, à l'aube, où tout se confond. Le jour ne sait s'il ose arriver, de peur de faire fuir la nuit. Et cette dernière voudrait rester encore. Ce sont les plus belles heures de la journée. Bises alpines et belle semaine.
RépondreSupprimerMoment tout à sa délicatesse, tes mots le traduisent à merveille, merci Anne. Lumineuse journée. brigitte
RépondreSupprimerTouchée par ces instants délicats, merci pour ce beau poème, Anne.
RépondreSupprimerPoème sublime par ses reflets éthérés, l'aube l’accueille dans toute sa magnificence.
RépondreSupprimerBien à toi Anne
joli sentiment , partagé :)
RépondreSupprimerMerci. Bonne journée.
RépondreSupprimerTon jardin un énigme,
RépondreSupprimerTon thé un brouillard
Ton poème un souffle
Et moi une chimère