Laisse-moi avoir mal
ne m’interroge plus
offre-moi
ton silence
offre-moi ton absence
et je t'y rejoindrai
peut-être
comme un oiseau meurtri
dans un cocon d’oubli
Je ferme ma porte
Je ferme mes yeux
Je ferme mon cœur
à tout ce qui n’est pas
le lieu
du combat.
Merci Anne pour ces mots qui me parlent .
RépondreSupprimerDenise