On a vécu ainsi, vêtu d’un manteau de feuilles ;
puis il se troue et tombe peu à peu en loques.
Là-dessus vient la pluie, inépuisable,
éparpillant les restes du soleil dans la boue.
Laissons cela :
Bientôt nous n’aurons plus besoin que de lumière.
Que la lumière et l'espérance deviennent nos plus beaux habits!
RépondreSupprimerUn manteau de lumière... cela fait rêver. Douce journée Anne, merci pour ces mots. brigitte
RépondreSupprimerUn poète que je connais trop peu. Merci, Anne. (J'espère que ce commentaire passera, les précédents ont disparu je ne sais où.)
RépondreSupprimerMais oui : heureuse de te lire, Tania.
SupprimerToujours au plus près de moi, Philippe Jaccottet. Merci pour ces vers lus ce matin. Bon week end.
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