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Merveille, triste merveille que ces mots de René-Guy Cadou.
Merveille que la voix fragile et forte à la fois d'Ariane Schréder sur le piano de Bernard Mikaelian.
Merveille que son trait délicat qui met en images l'insoutenable douceur de nos pertes.
Vous étiez là je vous tenais
Vous étiez là, je vous tenais
Comme un miroir entre mes mains.
La vague et le soleil de juin
Ont englouti votre visage
https://lyricstranslate.com
Vous étiez là, je vous tenais
Comme un miroir entre mes mains.
La vague et le soleil de juin
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage.
Chaque jour, je vous ai écrit,
Je vous ai fait porter mes pages
Par des ramiers, par des enfants
Mais aucun d'eux n'est revenu.
Je continue à vous écrire,
Je continue à vous écrire.
Tout le mois d'août s'est bien passé
Malgré les obus et les roses.
Et j'ai traduit diverses choses
En langue bleue que vous savez
En langue bleue que vous savez
En langue bleue que vous savez.
Maintenant j'ai peur de l'automne
Et des soirées d'hiver sans vous.
Viendrez-vous pas au rendez-vous
Que cet ami perdu vous donne
En son pays du temps des loups
En son pays du temps des loups ?
Venez donc car je vous appelle
Avec tous les mots d'autrefois.
Sous mon épaule, il fait bien froid
Et j'ai des trous noirs dans les ailes
Et j'ai des trous noirs dans les ailes
Et j'ai des trous noirs dans les ailes.
Vous étiez là, je vous tenais
Comme un miroir entre mes mains.
La vague et le soleil de juin
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage.
https://lyricstranslate.com Comme un miroir entre mes mains
La vague et le soleil de juin
Ont englouti votre visage.
Chaque jour je vous ai écrit
Je vous ai fait porter mes pages
Par des ramiers par des enfants
Mais aucun d'eux n'est revenu
Je continue à vous écrire.
Tout le mois d'août s'est bien passé
Malgré les obus et les roses
Et j'ai traduit diverses choses
En langue bleue que vous savez.
Maintenant j'ai peur de l'automne
Et des soirées d'hiver sans vous
Viendrez-vous pas au rendez-vous
Que cet ami perdu vous donne
En son pays du temps des loups.
Venez donc car je vous appelle
Avec tous les mots d'autrefois
Sous mon épaule il fait bien froid
Et j'ai des trous noirs dans les ailes.
Vous étiez là, je vous tenais
Comme un miroir entre mes mains.
La vague et le soleil de juin
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage.
Chaque jour, je vous ai écrit,
Je vous ai fait porter mes pages
Par des ramiers, par des enfants
Mais aucun d'eux n'est revenu.
Je continue à vous écrire,
Je continue à vous écrire.
Tout le mois d'août s'est bien passé
Malgré les obus et les roses.
Et j'ai traduit diverses choses
En langue bleue que vous savez
En langue bleue que vous savez
En langue bleue que vous savez.
Maintenant j'ai peur de l'automne
Et des soirées d'hiver sans vous.
Viendrez-vous pas au rendez-vous
Que cet ami perdu vous donne
En son pays du temps des loups
En son pays du temps des loups ?
Venez donc car je vous appelle
Avec tous les mots d'autrefois.
Sous mon épaule, il fait bien froid
Et j'ai des trous noirs dans les ailes
Et j'ai des trous noirs dans les ailes
Et j'ai des trous noirs dans les ailes.
Vous étiez là, je vous tenais
Comme un miroir entre mes mains.
La vague et le soleil de juin
Ont englouti votre visage
https://lyricstranslate.com Vous étiez là, je vous tenais
Comme un miroir entre mes mains.
La vague et le soleil de juin
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage.
Chaque jour, je vous ai écrit,
Je vous ai fait porter mes pages
Par des ramiers, par des enfants
Mais aucun d'eux n'est revenu.
Je continue à vous écrire,
Je continue à vous écrire.
Tout le mois d'août s'est bien passé
Malgré les obus et les roses.
Et j'ai traduit diverses choses
En langue bleue que vous savez
En langue bleue que vous savez
En langue bleue que vous savez.
Maintenant j'ai peur de l'automne
Et des soirées d'hiver sans vous.
Viendrez-vous pas au rendez-vous
Que cet ami perdu vous donne
En son pays du temps des loups
En son pays du temps des loups ?
Venez donc car je vous appelle
Avec tous les mots d'autrefois.
Sous mon épaule, il fait bien froid
Et j'ai des trous noirs dans les ailes
Et j'ai des trous noirs dans les ailes
Et j'ai des trous noirs dans les ailes.
Vous étiez là, je vous tenais
Comme un miroir entre mes mains.
La vague et le soleil de juin
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage.
https://lyricstranslate.com Vous étiez là, je vous tenais
Comme un miroir entre mes mains.
La vague et le soleil de juin
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage.
Chaque jour, je vous ai écrit,
Je vous ai fait porter mes pages
Par des ramiers, par des enfants
Mais aucun d'eux n'est revenu.
Je continue à vous écrire,
Je continue à vous écrire.
Tout le mois d'août s'est bien passé
Malgré les obus et les roses.
Et j'ai traduit diverses choses
En langue bleue que vous savez
En langue bleue que vous savez
En langue bleue que vous savez.
Maintenant j'ai peur de l'automne
Et des soirées d'hiver sans vous.
Viendrez-vous pas au rendez-vous
Que cet ami perdu vous donne
En son pays du temps des loups
En son pays du temps des loups ?
Venez donc car je vous appelle
Avec tous les mots d'autrefois.
Sous mon épaule, il fait bien froid
Et j'ai des trous noirs dans les ailes
Et j'ai des trous noirs dans les ailes
Et j'ai des trous noirs dans les ailes.
Vous étiez là, je vous tenais
Comme un miroir entre mes mains.
La vague et le soleil de juin
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage.
https://lyricstranslate.com Vous étiez là, je vous tenais
Comme un miroir entre mes mains.
La vague et le soleil de juin
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage.
Chaque jour, je vous ai écrit,
Je vous ai fait porter mes pages
Par des ramiers, par des enfants
Mais aucun d'eux n'est revenu.
Je continue à vous écrire,
Je continue à vous écrire.
Tout le mois d'août s'est bien passé
Malgré les obus et les roses.
Et j'ai traduit diverses choses
En langue bleue que vous savez
En langue bleue que vous savez
En langue bleue que vous savez.
Maintenant j'ai peur de l'automne
Et des soirées d'hiver sans vous.
Viendrez-vous pas au rendez-vous
Que cet ami perdu vous donne
En son pays du temps des loups
En son pays du temps des loups ?
Venez donc car je vous appelle
Avec tous les mots d'autrefois.
Sous mon épaule, il fait bien froid
Et j'ai des trous noirs dans les ailes
Et j'ai des trous noirs dans les ailes
Et j'ai des trous noirs dans les ailes.
Vous étiez là, je vous tenais
Comme un miroir entre mes mains.
La vague et le soleil de juin
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage.
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Vous étiez là, je vous tenais
Comme un miroir entre mes mains.
La vague et le soleil de juin
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage.
Chaque jour, je vous ai écrit,
Je vous ai fait porter mes pages
Par des ramiers, par des enfants
Mais aucun d'eux n'est revenu.
Je continue à vous écrire,
Je continue à vous écrire.
Tout le mois d'août s'est bien passé
Malgré les obus et les roses.
Et j'ai traduit diverses choses
En langue bleue que vous savez
En langue bleue que vous savez
En langue bleue que vous savez.
Maintenant j'ai peur de l'automne
Et des soirées d'hiver sans vous.
Viendrez-vous pas au rendez-vous
Que cet ami perdu vous donne
En son pays du temps des loups
En son pays du temps des loups ?
Venez donc car je vous appelle
Avec tous les mots d'autrefois.
Sous mon épaule, il fait bien froid
Et j'ai des trous noirs dans les ailes
Et j'ai des trous noirs dans les ailes
Et j'ai des trous noirs dans les ailes.
Vous étiez là, je vous tenais
Comme un miroir entre mes mains.
La vague et le soleil de juin
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage
Ont englouti votre visage.
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My very best friend-- since 1956-- passed a week ago. These words are meaningful.
RépondreSupprimerI am so sad for you, dear Bill. Best thoughts for you.
SupprimerTrès émue, chère Anne, en écoutant cette belle interprétation d'un poème souvent lu avec mes élèves. Je compatis avec ta peine et pense très fort à une amie en mauvaise posture dans un pays lointain. Je t'embrasse.
RépondreSupprimerDes larmes dans les yeux je t'embrasse Anne.
RépondreSupprimerIl y a des larmes dans l'attente
RépondreSupprimerComme des perles d'eau
Qui s'égrènent sur nos vies...
C'est d'une incroyable beauté, ces mots, ces notes jouées sur un piano, cette voix de cristal et ce trait si fin, si léger, l'émotion est vive... Je te tiens la main Anne, doux dimanche. brigitte
RépondreSupprimerL'insoutenable douleur de nos pertes, magnifiquement écrite, chantée, avec force et douceur . Je t'envoie une chaleureuse caresse.
RépondreSupprimerChoisir de se laisser chavirer par un poème de Cadou ? Mais on ne choisit pas. On se laisse emporter par la vague. Et après ? Il n'y a pas d'après. Il n'y a que instant sublime de la lecture. Ce n'est ni une recette, ni autre chose.
RépondreSupprimerC'est un constat.
Je suis tellement heureux de revenir vers toi.
Certes, très affaibli, puisqu'en soins palliatifs de l'hôpital de Vannes.
Combien durera cette chose cruelle? Nul ne le sait, mais ce que je sais, je le vis dans ces instants de poésie partagée, et je t'en remercie.
Roger
Vous avez raison, Roger, pour la poésie, on ne choisit pas. Pour le reste de la vie non plus, d'ailleurs, le plus souvent.
SupprimerReste l'ivresse de l'instant, ou son épreuve...
Merci d'avoir pris le temps de cet échange. Je pense fort à vous.
En fidèle amitié,
ANNE