Oui, il touche quelque chose de très précisément ressenti dans l'écriture, je suis heureuse qu'il te parle, ce texte, chère Dédé. Je suis moins présente sur les blogs (qui dysfonctionnent beaucoup et où souvent je ne peux plus mettre de commentaires, par exemple) mais je vais bien et j'espère qu'il en va de même pour toi. Je te souhaite une belle saison d'automne. Bises bourguignonnes (pluvieuses)
Les mots que l'on écrit quelque soit leur grandeur, quelque soit leur simplicité renaissent de leurs cendres dans le cœur de celui qui les reçoit... Marie
L'auteur m'est inconnu, mais ces vers me parlent, bien sûr. Ils disent un peu du mystère de la lecture, quand on écoute ce qu'on voit et qu'on le laisse vibrer en soi.
Ce silence nécessaire pour s'imprégner d'un texte, d'un tableau, d'un paysage, d'un visage...moi qui n'écris pas, je ressens pourtant cette communication qui passe, parfois. Merci, c'est beau.
(NB: je ne sais quel navigateur tu emploies, mais j'ai du en changer pour accéder aux blogs de blogspot....et ça marche) Un beso
I love that--- I wholeheartedly agree!
RépondreSupprimerC'est tout à fait ce que je ressens quand j'écris. Ce passage est très beau. J'espère que tu vas bien. Bises alpines.
RépondreSupprimerOui, il touche quelque chose de très précisément ressenti dans l'écriture, je suis heureuse qu'il te parle, ce texte, chère Dédé.
SupprimerJe suis moins présente sur les blogs (qui dysfonctionnent beaucoup et où souvent je ne peux plus mettre de commentaires, par exemple) mais je vais bien et j'espère qu'il en va de même pour toi.
Je te souhaite une belle saison d'automne.
Bises bourguignonnes (pluvieuses)
Les mots que l'on écrit
RépondreSupprimerquelque soit leur grandeur,
quelque soit leur simplicité
renaissent de leurs cendres
dans le cœur
de celui
qui les reçoit... Marie
Comme c'est bien dit, Marie.
SupprimerC'est magnifique. J'ai découvert Jean Sullivan il y a peu de temps.
RépondreSupprimerMoi aussi !
RépondreSupprimerC'est si bien vu et si bien exprimé, ce sera un auteur à découvrir pour moi, merci pour ce cadeau Anne. Doux week end à toi. brigitte
RépondreSupprimerBonne découverte, donc, chère Brigitte. Il y a des trésors, chez Sullivan.
SupprimerL'auteur m'est inconnu, mais ces vers me parlent, bien sûr. Ils disent un peu du mystère de la lecture, quand on écoute ce qu'on voit et qu'on le laisse vibrer en soi.
RépondreSupprimerCe silence nécessaire pour s'imprégner d'un texte, d'un tableau, d'un paysage, d'un visage...moi qui n'écris pas, je ressens pourtant cette communication qui passe, parfois.
RépondreSupprimerMerci, c'est beau.
(NB: je ne sais quel navigateur tu emploies, mais j'ai du en changer pour accéder aux blogs de blogspot....et ça marche)
Un beso