Les gares perdues dans les collines
Que juillet engourdit
et dont le goudron part
L’air sent la graisse chaude
la rouille
et la poussière
Il est parti le chef de gare
sa moustache
et son sifflet gris
Bientôt l’ortie
bientôt la ronce
confitures de mûres
pour le voyageur.
Silence des murs .... puis ronces et mûres c est bien ça j aime beaucoup ton poème merci
RépondreSupprimerNostalgie , mélange agréable d'odeurs ... La vie est partie ; une autre s'installe , parfumée d'orties , de ronces et de mûres .
RépondreSupprimerAgréable à lire !