Quelle est cette nuit dans le jour?
Quel est dans le bruit ce silence?
Mon jour est parti pour toujours
Ma voix ne charme que l'absence
Tu ne me diras pas "bonjour"
Tu ne me diras pas "bonjour"
Tu ne me diras pas "bonjour"
Plus jamais de chambre pour nous
Plus jamais
Ni de baisers à perdre haleine
Et plus jamais de rendez-vous
D'une heure à peine
Où reposer à tes genoux
Plus jamais C'est dit
C'est fini
Plus jamais
Plus de pas unis, plus de nombre
Plus de toit secret, plus de nid
Où passe et sombre
L'instant que l'amour a béni
Pourquoi le temps des souvenirs
Doit-il me causer tant de peine?
Et pourquoi le temps du plaisir
M'apporte-t-il si lourdes chaînes?
Que je ne puis les soutenir
Que je ne puis les soutenir
Que je ne puis les soutenir
Rivage, oh! Rivage où j'aimais
Aborder le bleu de ton ombre
Rives de novembre et de mai
Où l'amour faisait sa pénombre
Je ne vous verrai plus jamais
Je ne vous verrai plus jamais
Je ne vous verrai plus jamais
Il nous faut tous aborder le bleu de l'ombre.
RépondreSupprimerNostalgie et tristesse, bien accordés à ce jour...
RépondreSupprimerTu me fais découvrir cette chanson, si belle, si bien chantée. Merci, Anne. Douces pensées pour les absents si présents dans l'ombre de nos journées.
RépondreSupprimerC'est un texte magnifique et tellement émouvant. Mille pensées vers toi, mille étoiles. brigitte
RépondreSupprimerUN texte déchirant, chanté de façon légère, qui me donne la chair de poule.
RépondreSupprimerTous ces corps absents. si présents dans nos têtes.
Je t'embrasse
Magnifique..
RépondreSupprimerSi beau, si bien chanté, si vrai ...
RépondreSupprimerMerci pour cette écoute et cette découverte.
C'est sublime de vérité...émouvant...
RépondreSupprimerUne découverte si émouvante...Mille mercis Anne ! Claudie.
RépondreSupprimerLes nuits assombrissent parfois le jour
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